Identité
Missions
Engagements
Historique
Du XIXe siècle à nos jours
1887
Des épidémies de choléra, variole et fièvre typhoïde menacent Marseille à cause de l'écoulement de toutes les eaux usées dans les rues. Le maire, Félix Baret, décide de lancer un grand projet d'assainissement de la ville.
1891-1896
Construction du réseau unitaire du centre-ville actuel. (20 bassins, un premier émissaire de 12 km de long, 192 kilomètres de galeries et canalisations).
1953
Création d'un réseau séparatif en périphérie de la ville.
1979
Construction d'un deuxième émissaire de 6 kilomètres de long pour dévier par temps sec les eaux de l'Huveaune et du Jarret et protéger les plages du Prado.
1987
Mise en service de la station d'épuration répartie sur deux sites : à proximité du stade Vélodrome et dans la carrière de La Cayolle, six kilomètres plus loin.
1988-2009
Raccordement progressif des seize communes du bassin versant de la périphérie de Marseille.
2008
Mise en service de la seconde tranche de la station d'épuration des eaux Géolide par procédé biologique et de la nouvelle unité de traitement des boues.
2010
SERAMM devient une filiale du groupe SUEZ à 100%.
2014
Contrat de Délégation de Service Public d’Assainissement d’une durée de 15 ans confié à SERAMM par la Métropole Aix-Marseille-Provence. La société dédiée SERAM devient SERAMM, Service d’Assainissement Marseille Métropole.
2014-2017
Construction d’un nouveau bassin de rétention des eaux usées et pluviales de 50 000 m3.
2019
Inauguration de la plus grande unité de production de Biométhane en France à Marseille. Le biométhane produit par les boues d’épuration permet d’alimenter près de 2 500 foyers en énergie verte.
2020
Signature de l’avenant contractuel à la Délégation de Service Public dans le cadre de la fin du 1er quinquennat du contrat (durée totale de 15 ans).
2023
SERAMM a équipé les avaloirs du réseau marseillais de 5000 capteurs d’observation et de surveillance de leur propreté, et de 30 capteurs d’hydrogène sulfuré (H2S) dans des points stratégiques de Marseille, paramétrés à la sensibilité du nez humain, pour avertir du risque d’odeurs dans les rues.